Panne sexuelles, dysfonction érectile, dysérection ou même « impuissance » (mot que je déteste, on a bien envie de faire quelque chose. Les 3 médicaments qui peuvent faire du bien : Viagra, Levitra ou Cialis.
Aujourd’hui, c’est la fête à Levitra !

Principe actif :
Vardénafil (sous forme de chlorhydrate trihydraté) 5 mg, 10 mg ou 20 mg
Présentation :
Comprimé pelliculé Boîte de 12
Laboratoire :
BAYER AG
Prix de vente : Libre

Remboursement :
Non remboursé
Indications :
– Traitement de la dysfonction érectile, ce qui correspond à l’incapacité d’obtenir ou de maintenir une érection du pénis suffisante pour une activité sexuelle satisfaisante.

– Une stimulation sexuelle est requise pour que LEVITRA soit efficace.

– LEVITRA n’est pas indiqué chez la femme.

Classe thérapeutique :
Vardénafil
Posologie usuelle
et mode d’administration :
Voie orale.

Notez bien, comme pour les autres IPDE5 (médicaments de la même famille que le Levitra, Viagra ou Cialis), il faut une stimulation sexuelle pour que le médicament fasse de l’effet. En fait, il s’agit plutôt d’une excitation sexuelle. Disons que ça fonctionne « à chaud », mais pas « à froid ».

Une note positive sur le Levitra : c’est le plus facile à couper en deux : il est symémtrique. Pourquoi le couper en deux ? Pour que ça coûte moins cher. Un comprimé de 20 mg coupé en 2 (voir en 4), c’est moins cher et aussi efficace. Aujourd’hui, j’ai vu un homme en consultation qui le coupe en 4, et qui m’a dit que c’était trop fort : il a des bouffées de chaleur ! Il va devoir le couper en 8 ? Ou le réduire en poudre ? Mais non. Je lui ai dit : « je pense que vous n’en avez franchement plus besoin, c’est tout.«